« Chaque être humain a les mêmes droits à l’eau, à la nourriture, au logement, à la santé, à la sécurité, à la pensée, à la démocratie, à la culture, aux sciences et aux arts, et par-dessus tout,
à la PRATIQUE DE L’HUMOUR, ROSE OU NON.
"SORTIE DE SECOURS"
Yves Paccalet -
Ed Arthaud, 2007
Le rire, l’humour, c’est une ouverture poétique sur le monde, c’est simplement essayer de s’en sortir, pour ne pas mourir, ne pas désespérer, partager des choses.
Le rire, l’humour, c’est une humanité."
François Morel
Les deux seules certitudes que nous puissions avoir en ce monde, c’est qu’un jour, nous mîmes, avec ou sans paroles, les pieds sur cette terre et qu’un jour prochain, on nous les mettra en terre à moins d’être astronaute et d’être dans la lune pour sa fin ! En quelque sorte, nous sommes tous des êtres très terre à terre, ce qui est parfois bien amer à vivre !
Face à ce constat implacable, on peut s’en trouver bien navrés voire même atterrés, ce qui nous conduit dés lors à la case arrivée tout aussitôt !
On peut aussi acter de cette stricte et bien contraignante réalité et se dire, dés lors, que " dans la vie, faut pas s‘en faire " et, muni de cette conviction, prendre les choses de la vie avec philosophie sans nécessairement pratiquer urbi et orbi une " politesse du désespoir " pour la soif de certitude.
On sait fort bien ce que les gens polis…sont !
C’est cette gélaste * sagesse qui préconise une pétulante et flibustière " Humour Attitude ", salutaire et patiente en l’attente de l’au-delà tout en sirotant hédonistement le vin d’ici, comme le disait ce bon vieux Jean Carmet et tente de présenter un panorama et un balayage des plus complets qui soient du rire et de l’humour en leurs multiples expressions, caractères, spécificités, relations, conexions diverses et formes et en leurs différents champs de déploiement, d'application et de thématiques, celui de résistance, en particulier!
De l’avis de ses premiers lecteurs,« Il balaie large et fouille l’humour en tous ses recoins ! »
Il accorde une place toute particulière à " L'Humour de Résistance", une arme redoutable et de (re)construction massive que constitue l’Humour si on l’utilise à bon escient!
Cet Humour qui, " comme les essuie-glaces n’empêche pas la pluie, mais permet d’avancer " (Bruno Coppens), cet humour de résistance qui fait que, non seulement on peut rire de tout ce qui nous arrive, en mal,…comme en bien, mais qu’il convient surtout d’en rire le plus possible! Et qu’il s’agit là même d’un excellent et fort efficace moyen, sinon de s’en sortir, au moins d’essayer d’en sortir grâce à cette capacité de se forger à l’idée d’en rire pour tenter de n’en pas périr
Rire de tout, donc, férocement, amèrement, en cette attitude de résistance par l’humour, afin d’exorciser les vieux monstres et les démons qui nous menacent et nous assaillent ! Car, c’'est leur faire trop d'honneur que de ne les aborder qu'avec la mine compassée, attristée, soumise ou résignée.
C'est justement du pire qu'il faut rire le plus fort, là où ça fait le plus mal qu’il convient de se gratter, parfois au sang ; La faim, la torture, la misère, l'exploitation, la guerre... Et la connerie, l'universelle et sainte connerie, mère de tous ces beaux enfants ! " Je pense que le rire, même dans les situations les plus tragiques, est un élément revivifiant. On peut rire jusqu'à la dernière minute " Germaine Tillion
Coeur de pierre donc, mais source d’énergie radicale, l’humour est une ouverture sans précédent vers l’inouï, l’inédit et la liberté.
Rire, humour… humour et rire, il arrive aussi que le rire rende justice à ceux qui en sont privés.
Belle revanche des déshérités alors !
Le rire reste, on le voit donc bien, un mode de résistance d’une efficacité redoutable contre notre impuissance face à la tyrannie du réel. Avec l’humour, et le rire qui l’accompagne, on reprend la main et le pouvoir.
Inhibitions, angoisses, oppressions… le rire transcende tout ce à quoi il se rapporte.
Le rire impertinent est l’un des principaux vecteurs de la contestation et de la résistance à un ordre injuste, et est donc à ce titre une composante essentielle de l’insoumission.
Leibniz |
Commençons par le catholicisme?
L’humour catholique est tout à fait présent aussi bien dans le clergé que chez les fidèles. Au Moyen âge, c’est le célèbre théologien Thomas d’Aquin qui s’en est fait le défenseur en prônant un rire modéré, qu’il appelle «eutrapélie», un sourire qu’il faut préférer au « rire aux éclats ». Au vu de la vénération que les fidèles portent en général au clergé, des situations amusantes dans lesquelles ils peuvent se trouver, ou au vu de certaines de leurs paroles, le fidèle se met à rire, suivi d’ailleurs souvent par les intéressés eux-mêmes. Et l’on se moque gentiment aussi des comportements des fidèles et de leur manière de vivre la foi.
Les protestants sont réputés austères. Quelle relation le protestantisme entretient-il avec le rire?
Les protestants sont réputés austères, attentifs au péché humain plus qu’à sa nature bonne. Des mouvements comme le puritanisme et le piétisme ont été plutôt rétifs à l’égard du rire humain, y voyant une forme de péché. Pourtant, à commencer par Luther, mais aussi par Calvin, on trouve un humour bienveillant chez bien des protestants et une joie de vivre enracinée dans la foi. Il y a bien des ressemblances avec le rire catholique, mais les protestants utilisent plus souvent la Bible pour éclairer certaines situations avec le sourire.
L’islam fait-il également place à l’humour?
L’islam fait lui aussi place à l’humour. La sourate 53,60 du Coran affirme qu’Allah fait rire et fait pleurer. Certes, le Coran parle assez peu du rire et il est plutôt critique à ce sujet, mais les traditions ultérieures, appelées « hadiths », évoquent le rire humain et même celui de Mahomet. Et tout au long des siècles de nombreuses historiettes relatives au vécu religieux des fidèles et au comportement des imams attestent la place du rire dans l’islam. Il y a une résurgence de ce rire traditionnel dans l’islam d’aujourd’hui, sans relativiser pour autant la fidélité aux prescriptions religieuses.
Et qu’en est-il du blasphème? Y aurait-il un rire religieusement acceptable, et un autre pas?
Selon les trois religions monothéistes, il y a blasphème quand l’humain maudit Dieu ou se moque de Dieu, en particulier en le ridiculisant par l’image. L’islam y est particulièrement sensible. D’après lui, on ne peut se moquer ni d’Allah ni du prophète.
Cela n’est plus le cas dans une société sécularisée.
Certaines religions parlent même du rire de Dieu. Qu’est-ce qui le fait rire?
Le christianisme et le judaïsme parlent en effet du rire de Dieu.
En évoquant le rire et la moquerie de Dieu, les auteurs bibliques veulent exprimer la souveraineté de Dieu, sa distance par rapport aux actions et aux erreurs des humains ainsi qu’aux prétentions des hommes et des femmes. Luther expose aussi comment l’homme peut susciter le rire de Dieu: non par les œuvres qui lui plaisent à lui-même mais par son humilité, sa joie et par le service qu’il rend à son prochain.
Relevons encore que, à la différence des Pères de l’Église et de beaucoup d’autres auteurs, Luther a admis que Jésus a ri.
Plus que la religion, c'est la foi qui ouvre un espace pour l'humour et le rire. De quelle manière?
La religion comme telle consiste en un ensemble de rites, de croyances ou de pratiques qui ne prêtent pas nécessairement au rire, même si cela peut arriver, par accident. Mais la foi enracinée dans la Bible chez les juifs et les chrétiens, et dans les traditions, peut déboucher sur le rire. Elle consiste en un lien personnel avec Dieu et permet ainsi une distance libératrice à l’égard des aléas de la vie et de soi-même. Un espace s’ouvre ainsi pour le rire qui exprime la liberté. La foi chrétienne se réfère aussi à la victoire du Christ sur la mort et les forces du mal. D’où le rire de l’être humain, libéré de la crainte face à ces puissances hostiles.
Les croyants seraient-ils donc plus prompts à rire ?
Il serait présomptueux de l’affirmer. Bien des non croyants rient! Les croyants n’en ont pas le monopole, mais leur foi leur donne assurément une certaine capacité à rire. Dans tous les cas, leur rire ne sera pas destructeur, moqueur ou ironique à l’égard des autres, mais ce sera un rire de bienveillance, exprimant la joie de vivre. Le croyant sera ainsi capable de rire de lui-même parce qu’il n’a plus besoin de s’affirmer face à Dieu et aux humains.
" Dieu, après s’être entièrement donné dans le monde en devenir, n’a plus rien à offrir: c’est maintenant à l’homme de lui donner. Et il peut le faire en veillant à ce que, dans les cheminements de sa vie, n’arrive pas ou n’arrive pas trop souvent, à cause de lui, l’homme, que Dieu puisse regretter d’avoir laissé devenir le monde." | ||
Hans Jonas – philosophe |
" SI LE PEUPLE CONTINUE DE NE PAS ÉLIRE LES BONS DIRIGEANTS,
IL FAUT CHANGER DE PEUPLE "
Berthold Brecht
Vaste succès commercial indéniable et assuré pour les trois groupes pharmaceutiques américaines Pfizer, Biontech et Moderna qui détiennent le quasi-monopole de la vaccination en Occident et qui ont gagné plus de mille dollars de profits par seconde durant l’année 2021.
Sur le plan épidémiologique en revanche, ce succès semble loin d’être aussi clair et aussi évident.
Certes, la quasi-totalité des études disponibles montrent que les vaccins réduisent la gravité de la maladie et la mortalité chez les personnes âgées de plus de 60 ans, et surtout chez les plus de 75 ans, ces dernières représentant plus des trois quarts des personnes décédant du Covid depuis deux ans.
Pour les personnes à risque, se faire vacciner est donc une option raisonnable.
Mais il en va tout autrement pour la grande majorité de la population à savoir les personnes de moins de 60 ans et en bonne santé.
" Une intéressante étude canadienne (CanadianCovidAllianceCare, The Pfizer Inoculations Do More Harm Than Good, December 16, 2021) démonte par exemple le protocole d’essai du vaccin Pfizer du 3 décembre 2020. Elle montre que les gains du vaccin sont nuls pour la population générale et que ce vaccin est même plus nocif qu’utile en raison de ses effets secondaires. La manœuvre a consisté à ne prendre en considération que la réduction du risque relatif (95%), au détriment de la réduction du risque absolu (0,84%) pourtant recommandée par la FDA, le Swissmedic américain."
( " ZE RHUBARBE BLOG"
Voir ci-dessous)
Cette confusion volontaire sur le taux d’efficacité effectif du vaccin n’a évidemment pas tardé à s’observer sur le terrain.
Alors que les autorités de nos pays avaient juré croix de bois, croix de fer qu’une double dose de vaccin éradiquerait la maladie avant les vacances d’été 2021, afin de convaincre leurs populations de se soumettre à la piqûre, les premiers signes de doute sont apparus dès juin. On a commencé à parler d’une troisième dose, causée par l’apparition de «variants» (ces mêmes variants dont on niait l’existence et qui avaient valu à Didier Raoult d’être conspué par la profession un an plus tôt). Puis, devant l’échec de plus en plus patent de la double dose, on a carrément changé la définition du vaccin le 2 septembre dernier afin d’éviter d’avoir à se déjuger!
Le Covid, un excellent cheval de Troie
Il semble acquis que le refus de soigner les gens malades, surtout ceux et celles à risque, avec autre chose que du Dolilprane en croisant les doigts pour que leur condition ne dégénère pas, relève d’une forme de démence médicale. Une démence imposée par les autorités de santé dont l’objectif est de collaborer à la mise en place d’une dictature sanitaire, où le Covid sert de cheval de Troie à l’imposition de trains de mesures liberticides n’ayant rien à voir avec le sanitaire, mais vendues comme tel par des VRP inféodés à Big Pharma et à sa mafia de tous bords.
" La mise au ban, par leur Ordre, de médecins qui cherchent à soigner leurs patients, et leur transformation en simples revendeurs de médocs imposés par le régime, donc par Big Pharma, va à l’encontre de toute une civilisation médicale basée sur la relation intime médecin-malade."
( " ZE RHUBARBE BLOG"
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Un processus certes déjà connu sous le nom d’" iatrogénèse médicale" tel que l'a fortement bien décrit en particulier Ivan Illich bien avant l’avènement du Covid et qui implique et justifie largement la collaboration entre l'Etat et les institutions médicales visant à interdire et à démoniser des molécules accessibles, au profit de molécules chères et douteuses, relève d’un processus de corruption parfaitement intégré à la médecine moderne.
La iatrogénèse ou iatrogénie est l'ensemble des
conséquences néfastes sur l'état de santé individuel ou collectif de tout acte
ou mesure pratiqué ou prescrit par un professionnel de santé habilité et qui
vise à préserver, améliorer ou rétablir la santé.
En France, le
Haut comité de la santé publique considère comme iatrogènes « les
conséquences indésirables ou négatives sur l'état de santé individuel ou
collectif de tout acte ou mesure pratiqués ou prescrits par un professionnel
habilité et qui vise à préserver, améliorer ou rétablir la santé ».
La notion est
donc très générale, qualifiant un trouble ou un effet non souhaitable
consécutif :
- à
l'intervention d'un médecin ou autre professionnel de la santé, qu'il y ait ou
non erreur de traitement ;
- ou à l'utilisation
d'un médicament, qu'elle corresponde ou non à son indication habituelle.
(Wikipedia)
Une corruption mentale allant, aujourd’hui, jusqu’au refus de soin pour défaut de vaccination et qui mènera probablement , demain, au bannissement social et médical de toute personne ne se soumettant pas aux régimes et obligations sanitaires décidées en haut lieu.
" Une idéologie nihiliste pour une société aseptisée garantissant les privilèges des puissants, et la simple survie biologique des autres."
( " ZE RHUBARBE BLOG"
Voir ci-dessous)
Une résistance politique à l’obligation vaccinale.
Au-delà des aspects techniques de l’analyse bénéfice-risque, le refus vaccinal ou, surtout, le refus du principe de ségrégation symbolisé par le pass sanitaire et bientôt vaccinal (car on peut parfaitement choisir d’être vacciné pour se protéger, ou par sentiment d’absence de choix, mais refuser la violence qui en découle en refusant le pass) est sans doute le principal moteur de la résistance à cette forme avérée de dictature sanitaire, au nihilisme et au trou noir de la corruption qui alimente " la Bête"
Le Covid, un narratif religieux.
La Bible assimile ceux et celles refusant la marque de la bête à des saints, qui « recevront la vie éternelle et régneront avec Christ à Son Second Avènement (Apocalypse 20:4) ».
Nous n’en demandons pas tant, Dieu merci, mais ceci illustre le caractère éminemment religieux du schisme imposé par le clergé covidien entre croyants et infidèles, infidèles qu’il faut convertir ou excommunier. Et de fait, le covidisme s’emploie à d’abord convertir, puis excommunier, par la privation de travail ou d’accès à de nombreuses facettes de la vie « normale », ces infidèles érigés en assassins en puissance.
" Le scientisme faisant office de guide spirituel pour ce clergé et ses croyants, seul l’argument d’autorité fait foi et seule l’hypocrisie fait loi. Sous couvert de sacrifice au bénéfice de la communauté, la vaste majorité des croyants ne se « sacrifient » que pour leur propre confort et intérêt, ou au titre de leur propre peur.
La marque de la Bête, le QR code, sert alors à identifier ces croyants, à les rassembler dans les temples de la consommation à l’abri des infidèles, et à les soumettre à la volonté de cette Bête qui a pour forme moderne non plus les empires de Rome, de la Perse ou d’Athènes mais les empires commerciaux, médiatiques et financiers, des Gafam à Big Pharma en passant par le complexe militaro-industriel et le système financier."
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« Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom » .
(Apocalypse 13:16-17)
Quelle meilleure définition d’un QR code que marque, nom et nombre?
Macron et les gens comme lui, sous couvert de discours martiaux face à l’avènement de la Bête, en sont en réalité les serviteurs. Et c’est à ce titre que l’interview avec le FT, un an après, prend toute sa saveur…
" Dans cette société profondément allergique au risque, où l’interdit est permanent et l’autorisation temporaire, les droits du collectif définis par une administration omnipotente l’ont emporté sur ceux de l’individu.
Et comme le danger sanitaire restera permanent, exactement comme le terrorisme l’est devenu, on ne reviendra jamais en arrière.
Les devoirs valent avant les droits.
La Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, base de notre République, a vécu et, en bonne logique devrait être remplacée par la Déclaration des devoirs de l’Homme et des droits de la Nation.
Le virus a fait une victime supplémentaire et non des moindres, la démocratie libérale"
Jean Quatremer
Correspondant européen
Libération
N.B: Un grand merci à un compatriote habitant lui aussi à Cluny, Vincent Verschoore, de m'avoir autorisé si amicalement ces diverses citations
"
ZE RHUBARBE BLOG"
Pour tenter de
sortir du périmètre imposé
Ceci est un blog d’opinion couvrant un éventail de thèmes, de la physique quantique à la situation au Moyen-Orient en passant par la critique sociale et l’intelligence artificielle, voire des sujets à haute dose polémique tels la corruption institutionnelle, la gestion du Covid-19, ou encore les manipulations de l’Etat profond.
Mon principe est de poser un regard sur tel ou tel événement, avancée, découverte ou débat, argumenté selon le principe de l’open source, c’est-à-dire avec mention des sources.
Vincent Verschoore
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Etienne Moulron
Fondateur de la Maison du Rire et de l'Humour
et Créateur du " Prix Humour de Résistance"
http://lephare1.e-monsite.com/
1, avenue Pierre le Vénérable
71250-Cluny
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